
Mise à jour importante de l’ASPC sur le COVID-19 pour les thérapeutes respiratoires
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Nouveau Groupe provincial d’intérêt particulier de la SCTR (Nouveau-Brunswick)
janvier 25, 2022
La Société canadienne de thoracologie (SCT) et la Société canadienne des thérapeutes respiratoires (SCTR) sont encouragées par la récente déclaration de la Dre Tam, administratrice en chef de la santé publique du Canada, qui a reconnu la transmission de la COVID-19 par les aérosols. La SCT et la SCTR ont déployé des efforts considérables tout au long de la pandémie pour susciter une reconnaissance élargie de la transmission par aérosols afin de faire pression pour l’amélioration des protocoles, des directives, de la ventilation et de l’équipement de protection individuelle (ÉPI).
Tout au long de la pandémie, des directives concernant la transmission par voie aérienne du SRAS-CoV-2 ont présenté des contradictions parce que certaines autorités sanitaires n’avaient pas encore reconnu les faits scientifiques. La SCT et la SCTR ont organisé des tables rondes nationales en mai et en novembre afin de partager les données probantes, d’élaborer des stratégies en milieu clinique pour mieux protéger les prestataires de soins ainsi que les patient-es, et d’établir un consensus sur la question entre les intervenant-es du domaine de la santé. La SCT et la SCTR espèrent que la reconnaissance de la transmission par aérosols, par l’Agence de la santé publique du Canada (ASPC), conduira à l’établissement de normes plus élevées et plus claires dans tout le pays.
« Depuis le début de la pandémie, la SCT a appliqué une approche prudente dans ses propres prises de position et ses conseils aux membres, sur l’utilisation des masques N95 appropriés, le temps entre les séances de tests de fonction pulmonaire en laboratoire, et plus encore. Au fur et à mesure que nous en avons appris davantage sur la transmission aérienne de la COVID-19, cette prudence supplémentaire a porté ses fruits », a déclaré le Dr Paul Hernandez, président de la SCT. « Cette question a été une priorité du plaidoyer de la SCT, aux paliers provincial et fédéral, et nous avons hâte de continuer à travailler avec tous les échelons de gouvernement, à la suite de cette déclaration de la Dre Tam, et d’aider le Canada à utiliser les meilleures pratiques fondées sur des preuves afin de lutter contre cette pandémie. »
« Nous espérons que cette déclaration incitera les autorités sanitaires de tous les paliers de gouvernement à modifier leurs directives. Même avec l’étape positive que représente la vaccination d’une partie importante des Canadien-nes contre la COVID-19, la vigilance reste de mise », a déclaré le Dr Andrew West, directeur général de la SCTR. « Parallèlement à la reconnaissance de la transmission par aérosols, les autorités sanitaires ont la responsabilité de veiller à l’utilisation d’ÉPI appropriés, à la distanciation physique et à l’amélioration de la ventilation, à la fois pour continuer à combattre la COVID-19 et pour mieux se préparer à toute future crise de santé publique. »
Cette déclaration de l’ASPC est un pas en avant vers de meilleures précautions contre les aérosols, ce qui profitera à tous les Canadien-nes et permettra de mieux protéger les travailleur(-euse)s de la santé et les personnes vulnérables. La SCT et la SCTR se réjouissent de continuer à travailler avec le gouvernement fédéral afin que le Canada mette en œuvre les pratiques exemplaires et directives fondées sur des données probantes pour protéger les Canadien-nes contre la COVID-19.
Tout au long de la pandémie, des directives concernant la transmission par voie aérienne du SRAS-CoV-2 ont présenté des contradictions parce que certaines autorités sanitaires n’avaient pas encore reconnu les faits scientifiques. La SCT et la SCTR ont organisé des tables rondes nationales en mai et en novembre afin de partager les données probantes, d’élaborer des stratégies en milieu clinique pour mieux protéger les prestataires de soins ainsi que les patient-es, et d’établir un consensus sur la question entre les intervenant-es du domaine de la santé. La SCT et la SCTR espèrent que la reconnaissance de la transmission par aérosols, par l’Agence de la santé publique du Canada (ASPC), conduira à l’établissement de normes plus élevées et plus claires dans tout le pays.
« Depuis le début de la pandémie, la SCT a appliqué une approche prudente dans ses propres prises de position et ses conseils aux membres, sur l’utilisation des masques N95 appropriés, le temps entre les séances de tests de fonction pulmonaire en laboratoire, et plus encore. Au fur et à mesure que nous en avons appris davantage sur la transmission aérienne de la COVID-19, cette prudence supplémentaire a porté ses fruits », a déclaré le Dr Paul Hernandez, président de la SCT. « Cette question a été une priorité du plaidoyer de la SCT, aux paliers provincial et fédéral, et nous avons hâte de continuer à travailler avec tous les échelons de gouvernement, à la suite de cette déclaration de la Dre Tam, et d’aider le Canada à utiliser les meilleures pratiques fondées sur des preuves afin de lutter contre cette pandémie. »
« Nous espérons que cette déclaration incitera les autorités sanitaires de tous les paliers de gouvernement à modifier leurs directives. Même avec l’étape positive que représente la vaccination d’une partie importante des Canadien-nes contre la COVID-19, la vigilance reste de mise », a déclaré le Dr Andrew West, directeur général de la SCTR. « Parallèlement à la reconnaissance de la transmission par aérosols, les autorités sanitaires ont la responsabilité de veiller à l’utilisation d’ÉPI appropriés, à la distanciation physique et à l’amélioration de la ventilation, à la fois pour continuer à combattre la COVID-19 et pour mieux se préparer à toute future crise de santé publique. »
Cette déclaration de l’ASPC est un pas en avant vers de meilleures précautions contre les aérosols, ce qui profitera à tous les Canadien-nes et permettra de mieux protéger les travailleur(-euse)s de la santé et les personnes vulnérables. La SCT et la SCTR se réjouissent de continuer à travailler avec le gouvernement fédéral afin que le Canada mette en œuvre les pratiques exemplaires et directives fondées sur des données probantes pour protéger les Canadien-nes contre la COVID-19.